Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

«Alireza, on t’oublie pas»

Le collectif «Alireza, on t’oublie pas», les jeunes de l’Etoile, la Coordination asile.ge, la Ligue suisse des droits de l’homme, le Silure, Solidarité Tattes, le SSP et Unia appellent à manifester ce soir, 25 janvier, à 18h à la place du Rhône à Genève pour ne pas oublier ce jeune requérant d’asile afghan qui s’est donné la mort au Foyer de l’Etoile après avoir reçu son avis d’expulsion. Comme le souligne l’association citoyenne Solidarité Tattes dans sa démarche: «Se souvenir d’Alireza, ce n’est pas seulement pleurer, c’est aussi lutter. Et la lutte est plus que nécessaire, alors qu’on vient d’apprendre un nouveau décès, celui de Tony, résident au Foyer du Lagnon.» Le collectif rappelle que les cantons ont une marge de manœuvre concernant les renvois. Elle demande donc leur arrêt, mais aussi la prise en compte des certificats médicaux, de «vrais permis pour une vie normale», un accès à la formation et au travail, des logements dignes. D’autres rassemblements sont déjà prévus le 1er et le 29 mars.

flyer

 

Pour aller plus loin

Grève de la faim à Frambois

Depuis le 27 mai, un requérant d’asile en situation de vulnérabilité extrême est en grève de la faim dans le centre de détention de Frambois. Les organisations Droit de rester Vaud...

«C’est comme envoyer des brebis à l’abattoir»

manif

Les Burundais de Suisse, avec le soutien du collectif Droit de rester, s’organisent pour dénoncer les expulsions forcées et pour que la Suisse leur accorde le statut de réfugiés.

Une lettre ouverte contre le système Dublin

Des personnalités des milieux politique, culturel, syndical, religieux, médical, universitaire et même sportif ont signé une lettre ouverte au conseiller fédéral Beat Jans et au...

Xénophobie dans le monde du travail

Participants et public de la table-ronde assis.

Une table ronde à Yverdon-les-Bains a rappelé, en marge de la fête du 1er Mai, les enjeux néfastes de l’initiative de l’UDC «Pas de Suisse à dix millions», stigmatisante pour les étrangers.