Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Des ex-employées de Heidi.com demandent justice

Trois anciennes employées de la marque de vêtements neuchâteloise Heidi.com demandent justice à la suite de leur licenciement, qu’elles estiment abusif. S’ajoute une quatrième ex-employée qui s’adresse aussi au Tribunal des prud’hommes pour un licenciement immédiat injustifié. L’histoire remonte à janvier dernier, quand ces quatre employées dénoncent le harcèlement d’un cadre, bras droit de la directrice actuelle, dont elles sont victimes, au conseil d’administration de la société. Ce dernier décide alors de licencier l’homme incriminé sur-le-champ. Jusqu’ici tout va bien… Sauf que, peu de temps après, c’est au tour des trois femmes d’être congédiées, puis dans un second temps, de la quatrième. Les raisons officiellement avancées sont de type structurel, l’entreprise essuyant des difficultés financières. Reste que, parallèlement, le cadre mis en cause revient par la petite porte dans la boîte, c’est-à-dire avec un mandat externe. Et d’autres mandats auraient aussi été proposés à des personnes extérieures. Pour le secrétariat neuchâtelois d’Unia, qui suit les différentes affaires au Tribunal des prud’hommes, tout porte à croire que ces cas relèvent de licenciements représailles, en d’autres termes «abusifs», à la suite de leur dénonciation du harcèlement sexuel auprès du conseil d’administration (qui a depuis été remanié) de Heidi.com. Affaire à suivre.

 

Pour aller plus loin

Entre 2 à 4 % de hausses des salaires

Plan et ordinateur, bureau d'ingénieurs.

La Commission paritaire des bureaux d’ingénieurs de Genève a communiqué le résultat des négociations salariales. Des augmentations qui satisfont Unia.

Le personnel de Smood devrait bénéficier de meilleures conditions de travail

Livreur de Smood à vélo

Selon un jugement de première instance, les employés de Smood doivent être soumis à la Convention collective de travail de l’hôtellerie-restauration comme l’avait estimé la commission de surveillance de l’accord en question.

Uber Eats doit se mettre en conformité

uber eats

Le Tribunal fédéral confirme que Chaskis SA, entreprise partenaire d’Uber Eats, pratique bien la location de services et doit donc obtenir une autorisation pour poursuivre son activité.

Genève: les magasins pourront ouvrir dimanche 22 décembre

Retournement inattendu. Mardi 17 décembre, le Tribunal fédéral (TF) a accordé l’effet suspensif au recours soumis par Genève Commerces et la Nouvelle organisation des entrepreneurs...