Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

NewSat Communications veut biffer 25 emplois

Active dans les télécommunications et implantée à Sion depuis quinze ans, NewSat Communications a annoncé le 11 juin sa volonté de fermer son site valaisan pour la fin octobre, laissant sur le carreau 25 collaborateurs très spécialisés. Réuni en assemblée générale dès le lendemain, le personnel de l’entreprise – aux mains du géant Panasonic – a mandaté Unia pour mener à bien la procédure de consultation prévue par la loi dans le cadre d’un licenciement collectif. «Nous avons rencontré la direction le 13 juin, précise Blaise Carron, secrétaire syndical à Unia Valais. Nous avons demandé les raisons de cette fermeture ainsi que d’avoir accès aux comptes et à la structure de l’entreprise.» Sans nouvelle la semaine passée, le syndicaliste a demandé la prolongation du délai de consultation jusqu’au 3 juillet. Encore une fois, sans réponse. «Même si la consultation a officiellement commencé, nous n’avons pas de données sur lesquelles nous appuyer. Nous avons affaire à des interlocuteurs américains qui n’ont aucune connaissance des procédures et des us et coutumes suisses. J’espère que nous pourrons rapidement avoir un retour afin de pouvoir avancer sur le dossier car les employés sont dans l’expectative, et la situation commence à être pesante pour eux.»

Pour aller plus loin

Unia obtient un plan social satisfaisant pour les licenciés de Straumann

Dents et prothèse dentaire

Les mesures d’accompagnement pour les 195 salariés mis à la porte ont été renégociées et améliorées

Des salariés de toute l’Europe crient leur colère devant le siège de Nestlé

Drapeaux et banderoles devant le siège de Nestlé.

A Vevey, une manifestation a réuni des délégués syndicaux des nombreux sites européens de Nestlé Waters pour dénoncer le projet de vente de cette activité par la multinationale.

Un été marqué par deux grèves

Grévistes le poing levé.

Deux grèves ont éclaté en juillet en Suisse romande, l’une dans l’entreprise Sun Chemical, à Morges, et l’autre à Samvaz, à Châtel-Saint-Denis. Séance de rattrapage et le point sur la situation.

Quand Philip Morris maltraite ses sous-traitants

Immeuble administratif

La multinationale casse le contrat qui la liait à une entreprise spécialisée dans le test de produits. Ce qui laisse 80 personnes sans perspectives de réembauche ni mesures d’accompagnement.