Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Des ex-employées de Heidi.com demandent justice

Trois anciennes employées de la marque de vêtements neuchâteloise Heidi.com demandent justice à la suite de leur licenciement, qu’elles estiment abusif. S’ajoute une quatrième ex-employée qui s’adresse aussi au Tribunal des prud’hommes pour un licenciement immédiat injustifié. L’histoire remonte à janvier dernier, quand ces quatre employées dénoncent le harcèlement d’un cadre, bras droit de la directrice actuelle, dont elles sont victimes, au conseil d’administration de la société. Ce dernier décide alors de licencier l’homme incriminé sur-le-champ. Jusqu’ici tout va bien… Sauf que, peu de temps après, c’est au tour des trois femmes d’être congédiées, puis dans un second temps, de la quatrième. Les raisons officiellement avancées sont de type structurel, l’entreprise essuyant des difficultés financières. Reste que, parallèlement, le cadre mis en cause revient par la petite porte dans la boîte, c’est-à-dire avec un mandat externe. Et d’autres mandats auraient aussi été proposés à des personnes extérieures. Pour le secrétariat neuchâtelois d’Unia, qui suit les différentes affaires au Tribunal des prud’hommes, tout porte à croire que ces cas relèvent de licenciements représailles, en d’autres termes «abusifs», à la suite de leur dénonciation du harcèlement sexuel auprès du conseil d’administration (qui a depuis été remanié) de Heidi.com. Affaire à suivre.

 

Pour aller plus loin

150 coursiers toujours menacés de licenciement

De dos, un coursier se préparant.

A l’issue de la procédure de consultation, le personnel d’AlloService a demandé son réengagement par Smood, la plateforme pour laquelle il roulait

Après l’incendie et le Covid-19, les licenciements…

Les Bains de Saillon de l'extérieur.

Les Bains de Saillon en Valais ont annoncé le licenciement de 120 à 140 employés. La consultation du personnel est en cours

La CCNT de l’hôtellerie-restauration s’applique à Uber Eats

Une nouvelle expertise juridique montre que les coursiers d'Uber Eats doivent bénéficier des dispositions sur le salaire et la durée de travail prescrites par la Convention...

«Nous n’aurons plus de vie de famille»

Une vendeuse et Pablo Guscetti devant la presse pour le lancement du référendum.

A Genève, la gauche et les syndicats s’opposent à l’ouverture des commerces trois dimanches par année et à la prolongation d’une heure le samedi. Le référendum est lancé