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Le Festival du Film Vert fête ses 20 ans

affiche
©illustration: ZEP/ graphisme: vosimages.ch

Pionnier en la matière, le Festival du Film Vert propose, depuis 2006 déjà, des projections de films écologiques et sociaux. Cette année, plus de 90 documentaires, dans 118 lieux en Suisse romande, en France voisine et au Tessin sont au programme. Du 1er mars au 13 avril, plus de 500 séances, grâce à des centaines de bénévoles, sont proposées dans de nombreux lieux*. Les projections sont généralement suivies de rencontres avec les réalisateurs ou de discussions. Le 8 mars, la cérémonie d’ouverture du festival a lieu à Sion, en présence de nombreux réalisateurs, avec trois prix décernés: Tournesol, Public Eye et Albert Schweitzer. 

A l’occasion de ses 20 ans, le festival publie également un livre de témoignages et d’interviews de réalisateurs sur les grands sujets environnementaux, sous la direction d’Anastasia De Franchi, membre du comité (aux Editions de la Feuille Verte). Une chronologie permet de réaliser le chemin parcouru. Lors de la première édition, juste après le tsunami, le festival s’était déroulé au Cinéma Urba, à Orbe, avec 8 séances et 6 films. Et une audience de 523 personnes (contre plus de 22000 l’an passé). Le film Une vérité qui dérange d’Al Gore a contribué la même année à une prise de conscience du réchauffement climatique. Depuis, comme le fait remarquer dans l’introduction de l’ouvrage, Nicolas Guignard, fondateur et directeur du festival, il y a eu la catastrophe de Fukushima, mais aussi le formidable réveil de la jeunesse avec Greta Thunberg en fer de lance. Jusqu’à aujourd’hui, face aux fake news et à la superficialité des informations, la mission première du festival se veut toujours avant tout de «prendre le temps de réfléchir».

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