Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Cipag: salariés fâchés

Une douzaine de salariés de Cipag se tiennent debout devant leur société.
© Neil Labrador

Les salariés de Cipag à Puidoux se fâchent. Le groupe Elcotherm SA, propriétaire de la société, les a menacés en début d’année d’un licenciement collectif si des solutions n’étaient pas trouvées pour relever le chiffre d’affaires de la société. Le 11 février, les représentants du personnel remettaient à la direction, au terme de la procédure de consultation, une série de propositions dans ce sens. 26 salariés sont actifs dans cette entreprise spécialisée dans le chauffage.

Vendredi passé, une délégation de la direction a rencontré les employés. Mais aucune réponse n’a été apportée à leurs propositions et à leurs préoccupations, si ce n’est que les lettres de congé allaient partir le jour même. Lundi, après un ultimatum donné par le personnel pour obtenir une réponse écrite, la direction annonçait vouloir négocier un plan social, dont personne ne connaît la teneur, en Suisse alémanique. A l’heure où nous mettions sous presse, lundi après-midi, les salariés étaient toujours en attente de documents et d’une garantie que les discussions se dérouleraient à Puidoux. A suivre.

Pour aller plus loin

A Genève, les travailleurs d’Onet ont poursuivi leur grève

Salariés d’Onet et syndicalistes, au premier jour du mouvement.

Lundi, une rencontre était prévue avec des représentants de la ville et de l’entreprise

Bâtons dans les roues d’Uber et consorts

Application Uber Eats ouverte sur un smartphone pointé sur un livreur à vélo.

La fin de la récréation a sonné pour Uber et d’autres plateformes numériques. Genève exige de ces multinationales qu’elles se plient aux règles du canton, notamment en matière de conditions de travail et de protection sociale. Unia salue cette position et espère qu’elle fera tache d’huile.

«L’Etat doit prendre ses responsabilités!»

Deux syndicalistes d'Unia disent stop au dumping

Unia dénonce un nouveau cas de dumping chez Net Inter SA, une entreprise de nettoyage mandatée dans de nombreux bâtiments publics, qui ne compense pas les heures travaillées de nuit

Rien ne va plus dans le monde du nettoyage genevois

Des nettoyeurs d’Onet en lutte pour des conditions de travail décentes.

Une quinzaine de nettoyeurs de la multinationale Onet SA chargés de l’entretien des WC publics de la ville de Genève ont opté pour la grève