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Reconduction de la CCT de la vente à Lausanne

La Convention collective de travail (CCT) pour le commerce de détail de la ville de Lausanne est reconduite et étendue jusqu’au 31 décembre 2024. «C’est une bonne chose, souligne Giorgio Mancuso, secrétaire syndical d’Unia Vaud. Elle démontre la volonté de partenariat social. Un point particulièrement important dans le processus qui vise à instaurer une CCT de la branche au niveau cantonal. Et alors que les discussions se poursuivent sur la question. Encourageant!» Cette situation satisfait d’autant plus le syndicaliste qu’elle diffère clairement de ce qui s’est passé à Nyon, les patrons ayant dénoncé l’accord en vigueur après l’aboutissement du référendum contre une extension des horaires des magasins. Dans cette ville, la Convention arrivera à échéance à la fin de l’année.

A noter que la CCT lausannoise, de force obligatoire, prévoit quelques améliorations comme la garantie d’un samedi de congé par mois, la semaine de 41 heures ou encore l’introduction d’un salaire minimum.

Pour aller plus loin

Plus de 9000 signatures

Une remise de signatures peu commune… Le 31 janvier, le comité fribourgeois «contre les 17h le samedi» a déposé à la Chancellerie fribourgeoise son référendum dans des cabas des magasins de la place.

Les Fribourgeois voteront une nouvelle fois sur les heures d’ouverture des magasins le samedi

En marche vers la grève des femmes!

L’assemblée des délégués du secteur tertiaire d’Unia s’est engagée, le 28 janvier dernier, à soutenir la journée d’actions et de grèves du 14 juin et d’en faire un succès

L’assemblée des délégués du secteur tertiaire d’Unia s’est engagée, le 28 janvier dernier, à soutenir la journée d’actions et de grèves du 14 juin et d’en faire un succès. Le secteur, qui regroupe des branches largement féminines et à forte précarité, a récompensé quatre militantes pour leur courage et leur engagement.

Le long combat pour l’égalité de deux couturières

Dotées d’un CFC, Françoise* et Maria* ont engagé une procédure pour faire reconnaître l’inégalité salariale subie face à leurs collègues tailleurs, sans formation équivalente mais gagnant 1000 francs de plus

«Ikea méprise les travailleurs»

Pour livrer sa marchandise, le magasin Ikea de Vernier près de Genève veut travailler avec une entreprise française offrant des salaires de 1680 euros par mois (1900 francs)

Trusk est sur le point de lancer un service de livraison pour le géant suédois à Genève et entend payer des salaires français. Unia dénonce un scandale. Les autorités réagissent