A la fin de l’année, un nouveau Prix Migration et Emploi sera décerné par la Commission cantonale fribourgeoise pour l’intégration des migrants et la prévention du racisme (CMR). Ce prix, attribué tous les deux ans, récompense les employeurs privés et publics basés dans le canton de Fribourg qui favorisent l’intégration professionnelle des personnes issues de la migration par des mesures ciblées, durables et innovantes. Ils doivent aussi s’engager à prévenir les discriminations de la population migrante sur le marché de l’emploi par des actions concrètes.
Le lauréat recevra, en plus d’une attestation officielle, un prix d’un montant de 5000 francs qui seront remis à l’automne en présence des autorités, des médias et d’autres partenaires.
Depuis 2011, le CMR a attribué sept prix, à l’image de cette entreprise bulloise active dans la construction, qui propose des cours de français pour ses employés souhaitant améliorer leurs compétences. Ou encore d’un garagiste de Matran, engagé en faveur de la formation de migrants arrivés tardivement en Suisse.
Les employeurs intéressés à participer sont invités à envoyer leur dossier de candidature, en version électronique, d’ici au 30 mai 2025.
Le formulaire se trouve sur le lien: fr.ch/imr/prix et doit être envoyé à integration [at] fr.ch (integration[at]fr[dot]ch), avec comme objet: Prix Migration et Emploi 2025.
Une association valaisanne de soutien aux victimes et témoins dresse un premier bilan depuis sa création il y a moins de deux ans. Retour sur sa mission avec son directeur, David Dandrès.
Lors de la conférence sur la migration, l'Union syndicale suisse, organisatrice de l’événement, a affirmé l’intention de lutte avec force contre l’«initiative sur la durabilité».
Les Vaudois devront se prononcer le 28 septembre sur les droits politiques communaux pour les étrangers. Le mouvement Agissons! revient sur les enjeux.
La tragédie de Mattmark, un tournant dans la politique migratoire en Suisse
A 60 ans de la catastrophe, l’ancien coprésident d’Unia, Vasco Pedrina, analyse les conséquences de ce drame. Une position à lire également dans sa contribution au livre «Mattmark 1965», signé Elisabeth Joris.