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Maçons en colère

Lundi passé, jour du coup d’envoi de la vague de protestation, les chantiers tessinois étaient à l’arrêt
© Lucas Dubuis / Unia

Chantage sur la retraite à 60 ans, semaines de 50 heures, perte d’acquis salariaux, suppression de la protection en cas d’intempéries... Face aux attaques de la Société suisse des entrepreneurs, les maçons ont décidé de se battre pour défendre leurs droits. Lundi passé, jour du coup d’envoi de la vague de protestation, les chantiers tessinois étaient à l’arrêt: 3000 travailleurs de tout le canton étaient venus manifester leur colère à Bellinzone. Nous reviendrons sur cette action dans le prochain Evénement syndical

Pour aller plus loin

Les salaires montent dans les échafaudages

Les syndicats ont obtenu une augmentation de 1,5% des salaires effectifs pour 2024 et une revalorisation de 105 à 150 francs par mois pour les salaires minimums.

Alors que les négociations pour le renouvellement de la CCT s’ouvriront en début d’année prochaine, les syndicats ont déjà obtenu une revalorisation des salaires minimums

Les maçons valaisans mobilisés

Quelque 80 maçons se sont mobilisés à Monthey.

Les maçons valaisans revendiquent une augmentation de salaire. Ils ont mené plusieurs actions demandant aux patrons de revoir leur copie. Et se montrent déterminés à poursuivre la lutte.

Valais: Augmentation de 2% dans la construction métallique

Les quelque 1200 employés soumis à la CCT valaisanne de la construction métallique bénéficieront d’une augmentation salariale de 2% en 2024. «Cette augmentation compense pleinement...

Chantier à l'arrêt et victoire syndicale

«Le chantier est à l’arrêt!», affiche la banderole tendue par Unia au petit matin du 6 décembre à Berne. Les cinq ouvriers hongrois, non-payés, devaient vivre et dormir à même le chantier, dans des conditions immondes. Le contrôle et les démarches d’Unia ont permis qu’ils soient payés par l’entreprise générale.

Grâce à l’intervention d’Unia, des ouvriers hongrois non payés et vivant dans des conditions insoutenables sur un chantier bernois ont pu récupérer leur dû et leur dignité. Un cas de dumping sévère illustrant la nécessité de renforcer les mesures d’accompagnement et non de les édulcorer.