Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Radio Unia Pirate au bout du lac

«Liberté, égalité, pouvoir au peuple et musique», telle est la devise de Radio Unia Pirate, qui a vu le jour pendant le Covid-19. «Des amis en Italie avaient monté leur radio militante et, avec certains collègues, on s’est dit: pourquoi pas? Et on s’est lancés», raconte Pablo Guscetti, secrétaire syndical à Unia Genève. Le premier podcast de Radio Unia Pirate sera mis en ligne à l’occasion du 1er Mai. Suivront deux épisodes sur la Grève du climat du 15 mai et sur les métiers du bâtiment. Animées par des syndicalistes et des militants de la section, en plusieurs langues, ces émissions sont destinées aux salariés en quête d’informations et de conseils syndicaux, sur un ton plus léger. «C’est une approche moins formelle, avec des interviews, des discussions, de l’actualité, des témoignages, un peu d’humour et enfin beaucoup de bonne musique», complète le syndicaliste.

Pour aller plus loin

Un quart de siècle, une page se tourne

Cette année, «L’Evénement syndical» souffle ses 25 bougies. L’occasion d’esquisser en images, au travers de Unes, l’actualité syndicale, sociale et politique

Travailler moins pour avoir le temps de vivre

Une centaine de délégués présents à l’assemblée ont adopté le manifeste invitant à repenser le travail.

Unia lance officiellement sa campagne en faveur de la réduction du temps de travail, sans perte de salaire. Le manifeste a été adopté lors de l’Assemblée des délégués du 9 décembre

Des salaires et des rentes pour vivre correctement

 Les délégués de l’USS demandent des hausses substantielles des salaires réels pendant les négociations encore en cours afin que les pertes de pouvoir d’achat soient compensées et que les travailleurs profitent de la bonne marche de l’économie.

Le retard salarial reste considérable pour nombre de travailleurs, et les retraités vivent avec toujours moins, constatent les délégués de l’Union syndicale suisse

«La liberté syndicale présuppose le droit de grève»

En février 2015, une journée d’action mondiale s’était déroulée en défense du droit de grève remis en cause au sein de l’OIT. A Genève, syndicats suisses et internationaux s’étaient mobilisés, demandant notamment à la Fédération des entreprises romandes d’intervenir auprès de l’Organisation internationale des employeurs.

L'Organisation internationale du travail saisit la Cour internationale de justice concernant le droit de grève à la suite d’attaques patronales. Explications avec Luca Cirigliano, secrétaire central de l’Union syndicale suisse