Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Piquet de solidarité avec la CGIL attaquée par des extrémistes

Piquet de solidarité avec un drapeau italien.
© Olivier Vogelsang

La section genevoise de l’ANPI, une organisation antifasciste transalpine, organisait vendredi dernier un rassemblement devant le consulat italien du bout du lac en solidarité avec la CGIL. Le siège du plus grand syndicat a en effet été forcé et saccagé le 9 octobre par des dizaines de militants du groupe néofasciste Forza Nuova en marge d’une manifestation à Rome contre le pass sanitaire. L’ANPI a appelé les pouvoirs publics à la fermeté «contre toute tentative de nous ramener aux années les plus horribles de notre histoire». Le rassemblement était soutenu par la Communauté genevoise d’action syndicale (CGAS) et des syndicats internationaux. La CGAS a remis au consul une lettre ouverte pour le président du Conseil des ministres italien, Mario Draghi. La faîtière syndicale se dit «profondément scandalisée», elle invite le gouvernement de la Botte à «procéder rapidement à l’arrestation et à la condamnation des auteurs de ces crimes», à dissoudre «toutes les organisations d’inspiration fasciste» et à «garantir le libre exercice des droits syndicaux et la protection des organisations des travailleurs, condition indispensable et nécessaire à la lutte contre les inégalités et la précarité qui font le terreau du néofascisme et de toutes les formes de populisme, d’exclusion et de division».

Pour aller plus loin

«Emanciper le travail de la tutelle patronale»

manif

Depuis dix ans, le Groupe postcapitalisme romand planche sur des alternatives au système dominant. Le monde du travail est au coeur de ses réflexions

Les retraités romands d’Unia: des militants actifs qui souhaitent être reconnus

Denis Berger et John Amos regrettent que leur syndicat soit devenu un «mastodonte», ils plaident pour plus de créativité et une participation accrue des militants.

Président et vice-président du comité romand des retraités du syndicat, John Amos et Denis Berger prennent la parole pour faire connaître leur instance et demander qu’elle ait une existence statutaire

« C’est l’engagement collectif qui fait avancer cette société »

C’est dans son fief renannais que Pierre-Yves Maillard, président de l’Union syndicale suisse, a été invité à fêter son élection au Conseil des Etats en octobre dernier.

La commune de Renens a honoré, le 20 janvier dernier, son premier conseiller aux Etats élu l’automne passé

Unia va continuer à soutenir un journalisme de qualité tout en développant la communication en ligne

Unia dispose de journaux dans les trois principales langues de Suisse.

Un syndicat, qui entend mobiliser dans la rue, dans les entreprises, dans les branches et dans les urnes a besoin de syndicalistes forts, et d'une communication forte. Les journaux...