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Plus de 300 décès en dix ans

Face au nombre croissant de décès et d’accidents sur les sites de la multinationale ArcelorMittal, notamment au Kazakhstan, une journée d’action syndicale a eu lieu le 13 septembre en France, en Espagne, au Brésil, en Argentine, au Mexique, en Amérique du Nord, en Afrique du Sud, au Libéria... et devant le siège londonien. «Avec au moins 314 morts déclarés entre 2012 et 2023 et sans doute des milliers d’autres victimes d’accidents ayant subi des lésions sur leur lieu de travail, les travailleurs sont à la merci d’une véritable crise de la santé et de la sécurité chez le géant de la sidérurgie et de la mine», s’indigne Industriall Global Union. Judith Kirton-Darling, la secrétaire générale d’Industriall European Trade Union, ajoute, dans un communiqué: «Des travailleurs écrasés, électrocutés, brûlés, asphyxiés, tués dans une explosion, la sinistre liste des morts et des blessés ne cesse de s’allonger. On ne peut plus attendre; ArcelorMittal doit tendre la main aux syndicats et investir dès maintenant dans ses sites et ses travailleurs. Les vies des travailleurs doivent passer avant le profit!»

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