Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Petit déj’ contestataire à Lausanne

Manifestants prenant leur petit déjeuner assis sur le pont Chauderon
©Neil Labrador

Nouvelle manifestation en faveur de la protection du climat le matin du 15 avril dernier dans la capitale vaudoise. Répondant à l’appel du groupe international Extinction Rebellion Lausanne, quelque 150 personnes ont pris d’assaut le pont Chauderon pour partager un petit déjeuner contestataire. But du blocage: sensibiliser la population et les autorités à l’urgence d’agir face au réchauffement de la planète, les atteintes à l’environnement et la disparition d’espèces. «Nous agissons pour protéger la Terre, notre foyer», ont relevé les organisateurs du rassemblement dans leur invitation à la mobilisation tout en précisant la nature «strictement non violente» de l’action. Et de souligner encore: «Quand l’Etat abandonne délibérément sa responsabilité de protéger ses citoyens, il rompt lui-même le contrat social. La révolte devient alors notre droit le plus sacré et notre devoir le plus fondamental».

Pour aller plus loin

Une seconde chance pour la faune blessée

La vétérinaire soigne une alouette

Maillon dans la chaîne de la préservation de la biodiversité, le centre de soins de la faune sauvage Erminea vient de déménager dans de nouveaux locaux pour faire face à un afflux croissant d’animaux. Un nouveau souffle pour l’association. Reportage.

Près de 500 personnes défilent pour le climat à Genève

Manifestants avec banderoles

Une cinquantaine d’organisations avaient appelé à manifester pour la justice sociale et climatique, alors que se tient la COP 30 au Brésil.

Dans le Chablais vaudois, où le lombric est roi

lombriculteur

Michaël Ottenwaelter perpétue l’activité de lombriculteur, lancée sur ces terres par Agnès et Sylvain Gerber, et produit un humus aux qualités renversantes.

Climat : le Conseil fédéral à côté de la plaque

graphique

Les objectifs publiés en matière de politique climatique de la Suisse à partir de 2031 sont jugés insuffisants par les organisations de défense de l’environnement.