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La nouvelle CCT de l’industrie MEM entre en vigueur

La nouvelle Convention collective de travail (CCT) de l'industrie des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM) est entrée en vigueur le 1erjuillet. Les délégués à la conférence de branche organisée par Unia, dernière partie contractante à se prononcer, ont donné leur feu vert la semaine dernière. Les partenaires sociaux ont durement négocié ces derniers mois. Unia est parvenu à repousser la principale revendication de Swissmem, la faîtière patronale, qui entendait faire passer la durée hebdomadaire du travail de 40 à 42 heures. Le texte adopté introduit, au contraire, de nombreuses améliorations pour les salariés, comme l’adaptation automatique au renchérissement des salaires minimums, la promotion de l’égalité, une meilleure protection des travailleurs âgés, ou encore la «Passerelle MEM 4.0», idée lancée par Unia pour relever le défi de la numérisation sur le plan de la formation continue. Plus de 100000 travailleurs de 500 entreprises sont couverts par ce nouveau texte valable cinq ans.

Pour aller plus loin

Les grévistes de Samvaz poursuivent leur lutte

Grévistes de Samvaz.

Le personnel du secteur bois de Samvaz, à Châtel-Saint-Denis, continue la grève pour un plan social digne et en appelle à la solidarité de ses collègues de l’usine métal. Parallèlement, une pétition a été lancée.

Samvaz SA: Le personnel en grève pour un plan social digne de ce nom

Grévistes de Samvaz.

En l’absence d’un plan social jugé équitable, avec le soutien d’Unia, le personnel du département bois de Samvaz SA, à Châtel-Saint-Denis, est en grève depuis ce matin. Le point sur la situation et témoignages.

La grève est suspendue à Sun Chemical

Site industriel

Les travailleuses et travailleurs de l’entreprise chimique, qui réclament un plan social digne, seront entendus par l'Office cantonal de conciliation.

Plan social en discussion chez Samvaz

Employés de Samvaz SA lors du débrayage.

Après le débrayage du 25 juin, concernant la fermeture annoncée de cette usine de Châtel-Saint-Denis, la direction a accepté de négocier.