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Contre les violences patriarcales

manif
© Olivier Vogelsang

«Nous sommes le cri de celles qui n’ont plus de voix», assène la banderole de tête du cortège féministe lausannois en cette Journée internationale du 25 novembre contre les violences faites aux femmes. La chorale anarchiste entame des chants de lutte, les tambours de Rythm of Resistance accompagnent les cris de révolte de quelque 1500 manifestantes et manifestants. Des bougies et des fleurs sont déposés d’abord à Bel-Air où, début novembre, un féminicide a eu lieu. Puis sur la place du 14 juin, pour toutes les autres. De nombreuses femmes tiennent des pancartes violettes pour chacune des 28 victimes de féminicide en 2025 en Suisse. Une mère porte le portrait de sa fille à bout de bras. Elle s’appelait Kelly et le verdict du procès de son meurtrier est prévu le lendemain. Le ciel semble avoir attendu la fin de la mobilisation pour verser ses larmes.

Une vidéo de Virginie Zimmerli.

Pour aller plus loin

La mobilisation a payé

Le 20 juin, deux employées du Kunstmuseum de Bâle ont été licenciées pour avoir participé à la grève des femmes du 14 juin. Deux jours plus tard, une manifestation réunissant...

«Le problème initial, c’est le manque de respect»

La jeune équipe féministe de choc du collège de la Planta.

N’ayant pas eu l’autorisation de faire grève, des étudiantes du collège de la Planta ont décidé de participer à l’événement à leur manière. Discussion à bâtons rompus

Des banderoles pour les femmes invisibles

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Devant la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga et les conseillères d’Etat vaudoises, des militantes pour les droits des migrantes ont dénoncé le sexisme d’Etat

Les employées d’EMS veulent du respect

Des employées ont dénoncé la dégradation des conditions de travail avec des résidentes des Pâquis solidaires.

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