Aller au contenu principal
Menu

Thèmes

Rubriques

abonnement

Des ex-employées de Heidi.com demandent justice

Trois anciennes employées de la marque de vêtements neuchâteloise Heidi.com demandent justice à la suite de leur licenciement, qu’elles estiment abusif. S’ajoute une quatrième ex-employée qui s’adresse aussi au Tribunal des prud’hommes pour un licenciement immédiat injustifié. L’histoire remonte à janvier dernier, quand ces quatre employées dénoncent le harcèlement d’un cadre, bras droit de la directrice actuelle, dont elles sont victimes, au conseil d’administration de la société. Ce dernier décide alors de licencier l’homme incriminé sur-le-champ. Jusqu’ici tout va bien… Sauf que, peu de temps après, c’est au tour des trois femmes d’être congédiées, puis dans un second temps, de la quatrième. Les raisons officiellement avancées sont de type structurel, l’entreprise essuyant des difficultés financières. Reste que, parallèlement, le cadre mis en cause revient par la petite porte dans la boîte, c’est-à-dire avec un mandat externe. Et d’autres mandats auraient aussi été proposés à des personnes extérieures. Pour le secrétariat neuchâtelois d’Unia, qui suit les différentes affaires au Tribunal des prud’hommes, tout porte à croire que ces cas relèvent de licenciements représailles, en d’autres termes «abusifs», à la suite de leur dénonciation du harcèlement sexuel auprès du conseil d’administration (qui a depuis été remanié) de Heidi.com. Affaire à suivre.

 

Pour aller plus loin

Une CCT exemplaire a été signée dans la branche de la formation d’adultes

Avec sa nouvelle CCT, l’ECAP, l’institut de formation d’adultes et d’encouragement à l’intégration, montre la voie, selon les syndicats

Hôtellerie-restauration: de meilleurs salaires minimums

Un serveur.

Les nouveaux salaires minimums pour l’an prochain dans l’hôtellerie-restauration sont fixés, intégrant la pleine compensation du renchérissement et une augmentation de 5 francs par mois

Les ouvrières de Ceva Logistics se mobilisent pour leurs salaires

Action de protestation devant l'entreprise.

Après une première action lors de la grève des femmes du 14 juin, environ 170 employées ont protesté le 14 septembre durant près d’une heure aux portes de leur entreprise

«Le signal donné est de bon augure»

Dépôt des signatures la semaine dernière par les représentants des syndicats et partis ayant participé à leur récolte.

La population valaisanne se prononcera dans les urnes sur l’extension des horaires d’ouverture des magasins, le référendum ayant largement abouti