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Augmentations salariales dans l’industrie des produits en béton

Les quelque 2000 employés de l’industrie des produits en béton bénéficieront au 1er janvier 2024 d’augmentations salariales. Signataires de la Convention collective de travail (CCT) de la branche, les syndicats Unia et Syna ont obtenu une augmentation générale de 100 francs des salaires effectifs. Les salaires minimums, eux, seront revalorisés de 100 à 125 francs suivant la catégorie: les employés non qualifiés gagneront désormais au moins 4150 francs (+125 francs), les semi-qualifiés 4300 francs (+125 francs) et les qualifiés 4500 francs (+125 francs), tandis que les détenteurs d’un CFC de constructeur d’éléments en béton préfabriqués passeront à 4900 francs (+100 francs). «Après des négociations intensives, nous avons obtenu un résultat plutôt positif. Il s’agit de la plus importante augmentation dans la branche depuis des années», commente Chris Kelley, coresponsable du secteur construction d’Unia.

Pour aller plus loin

Les salaires montent dans les échafaudages

Les syndicats ont obtenu une augmentation de 1,5% des salaires effectifs pour 2024 et une revalorisation de 105 à 150 francs par mois pour les salaires minimums.

Alors que les négociations pour le renouvellement de la CCT s’ouvriront en début d’année prochaine, les syndicats ont déjà obtenu une revalorisation des salaires minimums

Les maçons valaisans mobilisés

Quelque 80 maçons se sont mobilisés à Monthey.

Les maçons valaisans revendiquent une augmentation de salaire. Ils ont mené plusieurs actions demandant aux patrons de revoir leur copie. Et se montrent déterminés à poursuivre la lutte.

Valais: Augmentation de 2% dans la construction métallique

Les quelque 1200 employés soumis à la CCT valaisanne de la construction métallique bénéficieront d’une augmentation salariale de 2% en 2024. «Cette augmentation compense pleinement...

Chantier à l'arrêt et victoire syndicale

«Le chantier est à l’arrêt!», affiche la banderole tendue par Unia au petit matin du 6 décembre à Berne. Les cinq ouvriers hongrois, non-payés, devaient vivre et dormir à même le chantier, dans des conditions immondes. Le contrôle et les démarches d’Unia ont permis qu’ils soient payés par l’entreprise générale.

Grâce à l’intervention d’Unia, des ouvriers hongrois non payés et vivant dans des conditions insoutenables sur un chantier bernois ont pu récupérer leur dû et leur dignité. Un cas de dumping sévère illustrant la nécessité de renforcer les mesures d’accompagnement et non de les édulcorer.